Ces membres de gangs qui ont troqués la violence pour l’art du tatouage
[Temps de lecture : 3 minutes]
Ces superbes images racontent l’histoire de huit hommes mexicains qui ont changés de vie, passant de chef de gang et barons de la drogue, à une nouvelle vie de tatoueurs. Ils ont échangés une fraternité construite autour de la criminalité, à une fraternité basée sur l’art du tatouage. Et leur shop de tatoueurs est devenu leur nouveau gang : « Desert Ink » Ces clichés ont été réalisés par le photographe Jonathan Mai, qui capture des moments de leur nouvelle vie, ainsi que les joies de la fraternité et de la famille. Beaucoup des membres de l’ancien gang sont toujours en liberté conditionnelle, mais ils ont adoptés ce nouveau style de vie et sentent que leur tattoo shop est un moyen de s’épanouir et de marquer significativement les gens. Un des hommes du groupe, Lazz, souligne que l’art du tatouage, contrairement au street art, perdure dans le temps : « Maintenant, je peux dessiner sur la peau des gens, contrairement aux graffitis, mes tatouages ne sont pas peints et ne peuvent pas être lavés. Ils sont permanents. »
Ces superbes images racontent l’histoire de huit hommes mexicains qui ont changés de vie, passant de chef de gang et barons de la drogue, à une nouvelle vie de tatoueurs. Ils ont échangés une fraternité construite autour de la criminalité, à une fraternité basée sur l’art du tatouage. Et leur shop de tatoueurs est devenu leur nouveau gang : « Desert Ink » Ces clichés ont été réalisés par le photographe Jonathan Mai, qui capture des moments de leur nouvelle vie, ainsi que les joies de la fraternité et de la famille. Beaucoup des membres de l’ancien gang sont toujours en liberté conditionnelle, mais ils ont adoptés ce nouveau style de vie et sentent que leur tattoo shop est un moyen de s’épanouir et de marquer significativement les gens. Un des hommes du groupe, Lazz, souligne que l’art du tatouage, contrairement au street art, perdure dans le temps : « Maintenant, je peux dessiner sur la peau des gens, contrairement aux graffitis, mes tatouages ne sont pas peints et ne peuvent pas être lavés. Ils sont permanents. »
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Une réponse pour Ces membres de gangs qui ont troqués la violence pour l’art du tatouage
les photos sont juste incroyable c’est quand meme autre chose que la voyoucratie française des quartier « lol » c’est une autre classe quand meme là les gang hispannic clairement